L’écrivain américain H.P. Lovercraft a déclaré : « la peur est l’émotion humaine la plus ancienne et la plus forte ». Le film se déroule à l’intérieur d’une maison égyptienne. Il raconte une histoire vraie. Quel lien existe-il entre ces deux propos ?
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« The story of the friends » traite du rêve d’émigrer des jeunes égyptiens. Ils veulent quitter leur pays car ils ne sont pas heureux. Ils passent leurs journées à s’ennuyer tandis qu’ils aimeraient bien travailler et gagner correctement leur vie pour pouvoir envisager un futur et profiter de la vie.
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En Egypte, « The Visit » tente d’explorer et de déconstruire le rôle des médias dans une société où ils étaient devenus le principal outil de construction de l’opinion publique.
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Au fil des ans, toujours muni de sa caméra et de ses équipements, le réalisateur livre des témoignages sur la vie des membres de la même famille, et c’est alors toute l’histoire de l’Egypte, à travers deux générations, qui est mise en avant.
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Dans « Force majeure », un réalisateur cairote raconte l’histoire de ses rencontres avec un groupe de policiers en civil entre 2011 et 2013. Sur fond de changement imprévisible du paysage politique, ces flics dévoilent les abus qu’exerçaient les forces de sécurité sur les civils pendant la période prérévolutionnaire, et expliquent comment l’effet conjugué de leurs misérables salaires avec leurs mauvaises conditions de travail leur faisait subir ce même système répressif.
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« The Kings of Happiness » montre l’évolution d’un nouveau genre de musique en Egypte qui défie la musique classique égyptienne. Ces chansons qu’on entend partout maintenant en Egypte, elles sont nées dans une banlieue pauvre du Caire (Dar El-Salam) où la musique chaabi (populaire) a été reprise par des jeunes dans un version techno qu’ils appellent mahraganat.
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