TRACES DE « JE T’AI DANS LA PEAU »

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Traces de 'Je t'ai dans la peau'de Achille CHIAPPE

29 minutes, 2013

 

 

Juillet 1988. Jacques Reboud, assistant de Jean-Pierre Thorn propose un boulot à son ami Achille Chiappe, alors jeune artiste originaire de Marseille.
Une semaine de repérages pour in long-métrage, un film historique : « Et me voilà à la recherche de décors : usines, églises, hôpitaux, calanques, H.L.M., pavillons, ruelles, pavés, tomettes… J’arpente la ville de long en large, filmant avec application et bonheur tous ces lieux de Marseille que je découvre ou redécouvre. Au-delà de la dimension humaine, politique et esthétique du projet, c’est la fabrication même du film qui me fascinait. Pour en garder traces, j’ai accumulé photos, sons et vidéo 8mm. « Traces de ‘Je t’ai dans la peau' », 25 ans après, est le film sorti de ces éléments. »
Au fil des années, Achille Chiappe s’est fait chroniquer de sa ville. Cet écorché de Marseille, film inédit, en est un remarquable exemple.

 

Achille CHIAPPE est un réalisateur né en 1957 à Marseille.
Il a à son actif les films suivants : « L’homme aux fers » (1986, fiction, 18 minutes), « Vidéomatons » (1987, série de 31 portraits de plasticiens marseillais, 45 minutes), « Pidéo & Voésie » (1992, série de 20 portraits de poètes contemporains », 38 minutes), « Le Pen est-il français ? » (3 minutes), « Maria » (1993, portrait d’une ouvrière de la panification industrielle à Aubagne, 35 minutes), « Notre-Dame de Jérusalem » (1994, fiction, 8 minutes), « Il va pleuvoir » (1996, documentaire tourné avec les habitants de la cité Croix-Sainte à Martigues, 38 minutes), et « Etant donné, Richard Baquié » (1998, documentaire, 34 minutes).

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