de Vincent MARTORANA
60 minutes, 2013
A Douz, une région au cœur de la Tunisie, des bédouins aujourd’hui sédentarisés rencontrent des européens fascinés par le désert, en quête de lumière, de chaleur et d’authenticité.
Entre récolte des dattes, la richesse de cette région, et processus politique amorcé par la « révolution de jasmin », « Pourvu qu’elle soit Douz » fait le portrait d’une oasis du sud tunisien deux ans après le printemps arabe.
En filigrane, le lien ambigu qui unit la Tunisie à la France se révèle peu à peu.
Vincent MARTORANA est né en 1958 en Tunisie. Il est diplômé de l’IDHEC (Institut des hautes études cinématographiques, aujourd’hui La Fémis). Il a été pensionnaire à la Villa Médicis de Rome. Lauréat d’une bourse « Villa Médicis hors les murs » aux Etats-Unis, il a réalisé jusqu’à présent plusieurs court métrages, documentaires et films de télévision.
Parmi ses derniers films : « Mascara » (2012, documentaire, 63 minutes), « Mémoire(s) Vive(s) » (2011, récit, 46 minutes), « Autour du ring » (2010, documentaire, 52 minutes), « Une autre vie » (2009, documentaire, 59 minutes), « Tijuana » (2008, documentaire, 38 minutes).