de Emmanuel CHOURAQUI
146 minutes, 2019
Le film nous raconte en trois parties le parcours extraordinaire de Aude Fonquernie, pionnière du dialogue entre les religions :
1. Je n’ai pas besoin de Dieu
Née dans une famille pauvre de Cusset, non loin de Vichy, peu avant la deuxième guerre mondiale Aude sera adoptée après la guerre par une riche famille Américaine.
Grace à cette rencontre elle deviendra psychanalyste à Paris et restaurera le château de Sainte Suzanne en Mayenne et y installera un projet culturel.
C’est la pleine réussite sociale de Aude.
« Je n’ai plus besoin de Dieu ! », c’est à ce moment-là, lors d’une visite avec un ami à L’Abbaye Notre Dame de Fontgombault qu’elle est appelée par Dieu.
2. L’appel
La vie de Aude bascule suite à cet événement mystique, elle est appelée par une force mystérieuse (Dieu) à œuvrer pour la création d’un espace de dialogue entre les trois religions abrahamiques.
Depuis les années 70 elle n’a de cesse de répondre à cet appel qui lui vaut d’être une des grandes pionnières du dialogue inter religieux, son cheminement nous est raconté dans ce chapitre.
3. Espoir et Guérison
Ce chapitre dresse à travers l’expérience de Aude et ses compagnons de route un état des lieux du dialogue entre les religions en 2018 et évoque les points essentiels du dialogue avec quelques propositions pour la guérison de nos sociétés meurtries.
Avec la participation de : Aude Fonquernie, Gérard et Jean Pierre Morteveille, Dominique Ponnau, Tania Heidsieck, le cheikh Khaled Bentounes, Bernard Chouraqui, Edmond Lisle.
Emmanuel CHOURAQUI est réalisateur et producteur de films documentaires.
Il a suivi des études de géologie et de photographie et cinéma à Jérusalem entre 1982 et 1987. En 1997 il est diplômé de la Sorbonne en production déléguée et direction de production cinématographique.
Depuis 2000, il travaille au sein de sa société Beamlight. Il a réalisé et produit une cinquantaine de documentaires, parmi lesquels : « André Chouraqui – l’Ecriture des Ecritures » (2010 – 90 minutes), « Le Village des femmes » (2005 – 26 minutes), « Musica sacra de la terra sancta » (2005 – 52 minutes) et « Samuel Joseph Agnon » (1997 – 45 minutes, lauréat du Prix Première Oeuvre au PriMed – le Festival de la Méditerranée en images en 1997).
