de Asli AKDAG
et Banu SIVACI
67 minutes, 2021
Que se passe-t-il si une femme célibataire prend la décision de faire grandir son bébé sans père dans un pays conservateur ?
Dans ce documentaire autobiographique, une femme tient un journal visuel pour son bébé et photographie ce qu’elle vit dans la société, dans sa famille et dans son monde intérieur.
Le documentaire étudie en profondeur les rôles sociaux des femmes et intellectualise l’inégalité sociale. Nous voyons aussi l’insécurité portée par le passé à l’égard du père et nous sommes témoins du manque constant de figure paternelle au cours du film.
Aslı AKDAG est née en 1981 à Ankara. Après avoir obtenu son diplôme de la faculté de droit, elle a suivi un programme d’études supérieures sur la production cinématographique. Elle a travaillé dans différentes sociétés de production.
Elle s’est spécialisée dans les droits de propriété intellectuelle. Elle travaille en tant que consultante.
Elle a produit « Young Wrestlers », dont la première a eu lieu au 66e Festival du film de Berlin. Ce film a reçu plusieurs récompenses.
La co-réalisatrice Banu SIVACI est née en 1989 à Adana. Titulaire d’une licence de la faculté des beaux-arts, département peinture, de l’université de Çukurova, elle a travaillé sur plusieurs films en tant qu’assistante réalisatrice.
Son premier long-métrage « Le pigeon » a été acclamé dans le monde entier et récompensé par de nombreux festivals internationaux de cinéma tels que Valence (meilleur film), Sofia (meilleure réalisation), Asia Pacific (meilleur film pour la jeunesse) après sa première au 68e Festival international du film de Berlin dans la section Génération.
