de Danielle BALOSSA-TSIAKAKA
16 minutes, 2021
Comme son père avant elle, Bakhta a quitté l’Algérie pour prendre soin des siens.
D’une génération à l’autre, les mêmes sacrifices et deuils s’accumulent et se répètent.
Danielle BALOSSA-TSIAKAKA a suivi une formation en littérature où elle s’est spécialisée en littérature postcoloniale et afro-caribéenne. A la Sorbonne, elle soutient un mémoire autour du travail de l’écrivaine algérienne Assia Djebar.
En 2020, elle intègre l’école documentaire de Lussas où elle réalise son premier film documentaire, Aux vivants de pleurer.