Moeen, Ismat et Hafedh sont trois graffeurs tunisiens. Invisibles, ou presque, avant la révolution de janvier; ils ne cessent depuis le départ du président Ben Ali ‘d’attaquer’ les murs vierges. Au gré de leurs interventions et de leurs ‘attentats’ artistiques, une question revient : « Si Ben Ali n’existe plus, tout est permis ? »
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Un voyage dans l’espace et le temps, évoque la nature des liens à la mère et au pays natal, le Liban.
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C’est un instantané. Une fillette de 4 ans. La guerre d’Algérie. Le camp désaffecté de la Rye. Nicolas Sarkozy président. Un grand-père qui se meurt. Le temps et les espaces se déploient. Nous sommes projetés vers l’avenir.
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« Tout s’écoule et rien ne reste… Tout change et rien n’est laissé tel qu’il était au commencement », affirme l’héroïne, ayant désormais profondément conscience de cet affirmation à l’âge de 86 ans.
Le film raconte l’histoire d’une journée ordinaire de cette femme âgée. Une réflexion sur l’âge, le temps qui passe et la mémoire.
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Premier contact de la réalisatrice sur le territoire musulman africain.
Premier dialogue gestuel entre elle, Consol Llupia, femme occidentale, et Laila Eddouieb, femme orientale.
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Méditation sur le thème de l’exil italien et méditerranéen, et sur l’insularité autour de Sète, ma ville natale. Également un hommage au poète Paul Valéry (issu d’une famille d’exilés italiens)…
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