de Arezki METREF
78 minutes, 2017
Vingt ans après son exil pour cause de violence politique, un journaliste algérien revient au Soleil. Dans ce café du XXe arrondissement de Paris, il cherche des matériaux pour un livre : une histoire des immigrés à travers les cafés.
Journaliste, écrivain et réalisateur, originaire de Kabylie, élève de l’Institut d’Études politiques d’Alger, Arezki METREF devient en 1972 journaliste. Il collabore notamment à L’Unité, Révolution Africaine, El Moudjahid, Algérie Actualité.
En janvier 1993, il crée avec Tahar Djaout et Abdelkrim Djaad l’hebdomadaire Ruptures dont il est rédacteur en chef. Après l’assassinat de Djaout, il part en 1993 en France et ne retourne en Algérie qu’en 2001.
Il collabore au quotidien londonien The Guardian, aux revues Autrement, Maghreb-Machrek, Panoramique et à la rubrique monde de l’hebdomadaire Politis.
Il donne également des conférences sur l’Algérie en France et à l’étranger.
Après avoir publié de nombreux ouvrages, il commence à peindre en 2003 et expose en 2004.