de Gabriele DI MUNZIO
19 minutes, 2016
Tanger. Des histoires de vie quotidienne s’entremêlent, une voix raconte une histoire de résistance, de désirs, de courage et de destinée. C’est la voix d’une jeune femme, dont l’identité n’est pas révélée. L’intimité de ces moments reste comme une empreinte.
Né à Naples en 1972, Gabriele DI MUNZIO entreprend les études en sociologie à l’université Federico II de Naples. De 1992 à 1994, il aborde le domaine de la photographie et celui des techniques du montage audiovisuel à Londres. Depuis, il apprend en autodidacte les théories et les techniques de la mise en scène théâtrale et cinématographique. De 1995 à 2002, il participe et collabore à des ateliers et séminaires au Théâtre de l’Académie du cirque Fratellini à Paris, à l’école de mimodrame de Marcel Marceau, avec des acteurs du centre de recherche de Peter Brook, Eugenio Barba, Théâtre Valdoca. Il collabore régulièrement avec le théâtre Nuovo et le théâtre Galerie Toledo de Naples. Dans ce cadre là, il crée ses spectacles et se charge de la préparation des comédiens pour plusieurs compagnies napolitaines.
De 2001 à 2008, il réalise plusieurs documentaires audiovisuels en collaboration avec des associations françaises et italiennes. En 2007, il crée l’association Cantine1901 (http://www.cantine1901.com) avec laquelle il réalise et diffuse des projets interdisciplinaires entre danse, photographie, vidéo et théâtre.
Avec « Riviera 91 » et « Occhio di vetro cuore non dorme » il a reçu en 2009 et 2011 le prix spécial du jury au Torino Film Festival, et en 2010 avec « Riviera 91 » le prix du meilleur court-métrage au festival Terra di Cinema à Tremblay en France.