de Julia LAURENCEAU
47 minutes, 2016
Une île grecque à dix heures de bateau du continent : Amorgos.
Au fur et à mesure du film, imaginaire, récits de vie, légendes et réalités se mêlent pour dessiner le portait d’une île antique et hantée. Le paysage est tel un écho de ces récits – tantôt apaisé, tantôt menaçant ; toujours étrange.
Ce film est un dialogue entre hommes, paysages et fantômes. Ce film est un poème.
Après des études de sciences politiques, Julia LAURENCEAU a effectué le master II de réalisation documentaire à l’Université de Strasbourg en 2005-2006. Elle effectue une formation aux Ateliers Varan en pratique du montage documentaire en 2010.
En 2008, elle finit son premier film documentaire « Rêve général » qui suit deux grévistes durant le mouvement anti-CPE en 2006, ainsi que leurs parcours et interrogations après la grève.
En 2015, elle achève « Et Charles Benarroch à la batterie ». Le film raconte l’histoire d’un batteur dont les baguettes contiennent une bonne partie de l’histoire du rock français – une plongée dans un univers où la musique se crée à partir de rencontres, d’humeurs.
De 2006 à 2013, elle anime avec Didier Asson et Aleksandra Szrajber l’association Anyway films, une association de réalisation de films de commande et d’ateliers audiovisuels.
Elle est également lectrice de scénarios de longs-métrages fictions et a collaboré à l’écriture de plusieurs documentaires. Elle a été intervenante à l’Université de Strasbourg en montage et en écriture de scénario, secrétaire de rédaction et rédactrice pour le journal professionnel ‘Filmer dans le grand Est’, représentante pour la Safire (Société des Réalisateurs de Films Indépendants en Région Est) à l’interrégionale des réalisateurs et à la Commission cinéma – audiovisuel de l’Agence Culturelle d’Alsace, et co-présidente de l’association.