de Santiago MOGA PERPEN et
Carlos REVERTE GOMEZ
19 minutes, 2020
« I sing to stay alive » est une invitation à un monde rempli d’images et de réflexions sur l’art, la condition artistique et le flamenco.
Israel Fernández transpose la réalité dans un monde poétique où il s’exprime par le chant. Dans le documentaire, nous découvrons l’artiste, ses origines, ses références et son chant. Le portrait du cantaor décrit sa façon de voir la vie et rapproche le spectateur de l’artiste, de la culture gitane et de la musique flamenco.
Né en 1984 à Melilla, Santiago MOGA PERPEN est diplômé en direction de la photographie de l’ESCAC Ecole supérieure de cinéma et audiovisuel de Catalogne.
Il fait ses débuts dans le monde du court-métrage avec son projet de fin d’études, « La curiosa conexión de Juanentonce y Kripton », présenté en première au Festival du film espagnol de Malaga.
En 2012, il a remporté la bourse décernée par INCINE et ESCAC, avec deux projets documentaires, l’un comme réalisateur (« Bonches de Pedro Moncayo, en la mitad del mundo ») et l’autre comme directeur de la photographie.
Après une période de travail dans la publicité et la mode, il réalise le documentaire musical « Canto porque tengo que vivir » (« I sing to stay alive »), où il dresse le portrait de l’artiste flamenco Israel Fernández.
Né en 1984 à Jerez de la Frontera et grandi à Melilla, Carlos REVERTE GOMEZ s’est installé à Malaga à l’âge de 18 ans, où il a étudié les sciences de l’environnement.
Depuis son plus jeune âge, il s’intéresse au flamenco et à la photographie.
Dans son blog, il s’occupe de critique et de photographie documentaire concernant le flamenco. Il traite de ces deux disciplines dans le journal régional Diario Sur de Malaga.
A Madrid, il fait partie du conseil d’administration du Círculo Flamenco de Madrid et commence à s’impliquer dans la gestion culturelle. Il décide ensuite de créer sa propre entreprise, Larache Producciones, spécialisée dans la gestion d’artistes, le développement de programmes et la production de spectacles liés à l’art du flamenco.
Pendant tout ce temps, il continue à travailler en tant que photographe.
