de Sarah CLAUX et
Nicolas SOLDEVILLE
59 minutes, 2017
Partagés entre Orient et Occident les graffeurs libanais reprennent les codes de leurs aînés européens et américains en les adaptant à leurs propres problématiques.
Le questionnement de fond reste le même, seul le contexte change: essayer d’oublier la guerre, la crise des réfugiés, le manque d’écoute des politiques, les problèmes de chômage et la bataille contre la restriction des libertés en cassant l’image que l’on peut avoir de l’art de rue.
Niksa production est le fruit de la rencontre entre Nicolas SOLDEVILLE, horticulteur, baroudeur, globe-trotteur et véritable couteau suisse désireux de découvrir le monde et ses richesses cachées… et de Sarah CLAUX, JRI qui ne s’intéresse qu’aux sujets qui ne font pas la une des médias. Après des expériences professionnelles en Bolivie, au Maroc, au Timor-Oriental, au Mozambique et en Angleterre, dans des médias locaux et internationaux, c’est entre le Moyen-Orient et la France qu’elle a décidé de poser ses valises et créer sa société.