Nili PORTUGALI
72 minutes, 2021
À l’heure où l’environnement physique et humain dans lequel nous vivons est menacé, l’architecte Nili Portugali nous emmène dans un voyage intime dans la ville sainte galiléenne de Tsefat en Israël, une ville dont l’héritage culturel remonte à plus de 1000 ans. Elle nous fait découvrir des idées universelles à partir de son point de vue holistique/scientifique/bouddhiste : quel est le secret de tous les lieux intemporels dans lesquels on se sent chez soi et quel est cet art pur de la fabrication qui les crée ?
À tout moment, dans toute culture et en tout lieu. La réalisatrice reconstitue ses souvenirs d’enfance gravés sur chaque pierre de l’histoire de la ville où sa grand-mère a fondé son hôtel au bout de la ruelle dans la vieille ville. Un film qui franchit de nouvelles frontières – à cheval sur la ligne entre art et cinéma.
Nili PORTUGALI est architecte en exercice, maître de conférences, chercheuse, auteure publiée et réalisatrice. Le film « Et la ruelle qu’elle a blanchie en bleu clair » est le troisième de sa trilogie créative qui suit les bâtiments mondialement connus qu’elle a conçus et les livres qu’elle a écrits. Elle est diiplômée de l’A.A School of Architecture London en spéacialité Architecture et bouddhisme à l’U.C-Berkeley. Elle est descendante de la 7e génération d’une famille vivant dans la ville sainte de Tsefat, en Israël, depuis le début du 19e siècle. Son travail est lié à l’école de pensée holistique-phénoménologique.
Elle est Maître de conférences à l’Académie Bezalel d’art et de design de Jérusalem et à la faculté d’Architecture.