CHAHINE, L’ALGÉRIE ET LE CINÉMA

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Chahine, l'Algérie et le cinémade Salim AGGAR

54 minutes, 2017

 

 

 

 

Entre le cinéaste égyptien et l’Algérie, c’est avant tout une longue histoire d’amour et de combat. Tout a commencé en 1957, quand éclata la bataille d’Alger. Là il découvre l’Algérie, son combat et sa cause révolutionnaire, ce qui l’a conduit à réaliser en 1958 son long métrage « Gamila, l’Algérienne », en hommage au combat de la révolution algérienne et son héroïne de la bataille d’Alger, Djamila Bouhired, seulement une année seulement après son arrestation par les paras français.
Plus de cinquante ans après ce film et quelques coproductions avec l’Algérie dans les années 70, nous avons rencontré Youcef Chahine lors de son séjour en Algérie. Il nous a parlé de son combat pour le cinéma arabe, de sa relation privilégiée avec l’Algérie et surtout de ses amis algériens : Ahmed Rachedi, de sa concurrence artistique avec Mohamed Lakhdar Hamina, de l’implication pour Sid Ali Kouiret.

 

Salim AGGAR est journaliste, critique de cinéma, producteur et réalisateur algérien de documentaires. Il est l’auteur et réalisateur de quatre documentaires : « Ça tourne à Alger » (2007) qui montre les difficultés des cinéastes algériens durant la période du terrorisme, « Paroles d’un prisonnier français de l’ALN » (2010, sélectionné au PriMed 2010 – le Festival de la Méditerranée en images) sur le témoignage d’un prisonnier français de la guerre d’Algérie, « Le moudjahid de la plume » (2013) sur le parcours du doyen de la presse algérienne Nouredine Nait Mazi, et « Chahine, l’Algérie et le cinéma » (2017) sur les relations entre le célèbre cinéaste égyptien et l’Algérie.

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