de Ilaria JOVINE et
Roberto MARIOTTI
75 minutes, 2018
Basé sur une série d’articles de journaux sur la vie paysanne du sud de l’Italie, publiés dans les années 1940 par l’écrivain Francesco Jovine, et tourné dans l’Italie rurale contemporaine, le documentaire « C’era una volta la terra » traite des liens entre l’homme et la terre.
C’est un conte de fées suspendu entre le passé et le présent, parfois poétique, parfois amer. En plus de l’écrivain narrateur, les protagonistes sont un jeune agriculteur, un professeur de géographie, un troupeau de vaches, deux frères indiens et plusieurs jeunes Afghans vivant dans une ferme transformée en centre temporaire pour réfugiés.
Ilaria JOVINE fait ses débuts en tant qu’auteur en 2003 avec la pièce de théâtre « Fuori Tempo » et en 2012 en tant que réalisatrice avec le documentaire « In piazza. Voci intorno Piazza Testaccio ». En 2013, elle tourne son deuxième documentaire, « Almas en juego » suivi de « C’era una volta la terra » en 2018.
Après son premier film documentaire tourné en 2001, « Survivors », un recueil d’interviews de personnes sans domicile vivant à Rome, Roberto MARIOTTI est devenu réalisateur à plein temps. Depuis, il a écrit et réalisé plusieurs courts-métrages, dont « Libero professionista », « Contratto a termine » et « Il piazzista ».
En 2014, il a terminé son premier long-métrage « The Italian Dream », un film expérimental de genre noir sur l’immigration clandestine, suivi en 2017 de « Una vita in cambio ». En 2018, il réalise le documentaire « C’era una volta la terra » avec Ilaria Jovine : basé sur des articles de Francesco Jovine (1902-1950), le film explore la relation ancestrale entre l’homme et la terre.