de Emmanuel Tut-Rah FARAH et
Alessandro TESEI
62 minutes, 2017
A Malte, dans les années 60, l’apparition des bikinis sur les plages crée des débats et des polémiques au niveau social et religieux.
Le documentaire « Burning Bikinis – Bikinis, Society, Women » revient sur cette période.
C’est un film sur l’émancipation des femmes maltaises et sur les premiers mouvements féministes des années 70. Il présente également les stéréotypes toujours présents dans la société maltaise et le combat des femmes d’aujourd’hui pour la conquête des mêmes droits des hommes, du respect et de la liberté.
Emmanuel Tut-Rah FARAH est un réalisateur italo-égyptien.
Il est attiré par le cinéma depuis la révolution égyptienne de 2011, quand il a appris comment le cinéma, la vidéo et le documentaire peuvent devenir des expériences collectives. Dans le but de diffuser la culture du cinéma et de la vidéo comme formes d’expression et de résistance, il est parmi les initiateurs du Projet Reelpeople.
Il travaille sur ses propres projets mais également avec d’autres réalisateurs, tels que Michael Bay, Philippe de Chevron, James Marsh et Jose Padilha.
Il vit actuellement à Malte.
« Burning Bikinis » est son premier long-métrage documentaire.
Alessandro TESEI a étudié les arts visuels et multimédia à l’Académie des Beaux-Arts.
En 2006 il a gagné le prix du jury au Festival I-Mode Vision de Macerata, en Italie, pour son court-métrage « Ceci n’est pas théâtre », inspiré de la poétique de Samuel Beckett.
En 2007 il a réalisé son premier long-métrage documentaire, « Vota Re Piccione », une enquête sur les problèmes de sa ville natale, Jesi, suivi en 2011 par le long-métrage « Fukushame » sur le nucléaire, et « Behind the Urals-the Nightmare before Chernobyl ».
