Kristýna KOPRIVOVA
43 minutes, 2021
La question de la recherche de sa propre identité et de sa responsabilité à travers le prisme du camp de réfugiés palestiniens d’Al Amari, à Ramallah. Al Amari a été établi après que ses habitants aient été expulsés de leurs maisons d’origine avec la promesse que la situation n’était que provisoire pour une semaine. Ce provisoire est devenu permanent et dure depuis 70 ans.
Le passé s’est transformé en réalité quotidienne et apparaît dans tous les aspects de l’environnement du camp. Les protagonistes Hannan, Jaafar et Shams ont leurs propres rituels : comment sortir du camp pour un moment et comment gérer leur identité de réfugié, également inscrite sur leur carte d’identité.
Kristýna KOPRIVOVA a étudié la philosophie politique et les sciences humaines (Prague, Londres), l’art contemporain et les études de conservation (République tchèque, Israël) et la réalisation de documentaires.
Elle a travaillé en tant que journaliste externe pour des magazines d’art contemporain et des radios (Artalk, Atelier, Czech Radio 3 Vltava), comme conférencière (par exemple Umakart : You Make Art), commissaire d’exposition (par exemple To Let Get Occupied NoD, It doesn’t have to be a joke (relativization of true), Who is gonna pay it ? (Galerie nationale, Prague), aisi que pour des événements cinématographiques – film Art et Genre (Galerie nationale).
Elle s’intéresse à la région d’Israël et de la Palestine et est actuellement candidate au doctorat en études des médias (études du discours) sur l’identité palestinienne dans le vidéoart palestinien.
