À TOUT PRENDRE, RIEN PLUTÔT QUE MOITIÉ

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A tout prendre, rien plutôt que moitiéde Julie AGUTTES

75 minutes, 2020

 

 

 

 

 

 

 

« A tout prendre, rien plutôt que moitié » est le portrait de Pierre Giudicelli, braqueur de banque à la retraite. A travers le récit romanesque de sa vie hors-la-loi, le film explore, dans le huis-clos de son village en Balagne, les mythes et la réalité de ce personnage.

 

Après des études d’histoire de l’art, Julie AGUTTES s’oriente vers le cinéma documentaire en travaillant en tant que chargé de production aux films d’ici avant d’assister différents réalisateurs de fiction comme comme Stan Neumann, Amos Gitaï ou Michelange Quay..
Elle co-réalise un premier film documentaire avec Régis Sauder, « L’année prochaine à Jérusalem », en 2008. Après avoir suivi l’atelier documentaire de la Fémis, elle poursuit son travail de réalisation avec « Un long cri mêlé à celui du vent » produit par le GREC et primé aux Ecrans documentaires d’Arceuil. Avec ce film elle poursuit son travail sur la mémoire des lieux à Marseille, ville qui reste le théâtre de son troisième film « Trois sœurs », autour de la rencontre avec trois soeurs religieuses envoyées d’Abidjan dans les quartiers populaires de la ville en mission d’évangélisation.
« A tout prendre, rien plutôt que moitié » est son premier long-métrage documentaire dans lequel elle interroge avec son personnage, braqueur de banque multirécidiviste à la retraite, la possibilité de faire le récit d’une vie tue. A travers le récit de la cavale de Pierrot dans les montagnes de sa Corse natale, elle expérimente un cinéma naturaliste, inspiré par les grands espaces et la puissance de l’attachement à la terre proposant un portrait sensible de ces territoires isolés.

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